J'avais 12 ans, j'ai pris mon vélo... - S. Dardenne

Titre du livre : J'avais 12 ans, j'ai pris mon vélo et je suis partie à l'école...
Nom de l'auteur : Sabine Dardenne
Quatrième de couverture : 28 mai 1996. Sabine Dardenne, 12 ans, est enlevée par Marc Dutoux sur le chemin de l'école. Ce monstre à déjà tué quatre enfants. Ce que va subir Sabine Dardenne est effroyable. Pourtant, après 80 jour d'horreur, elle va être sauvée de la mort dans des circonstance extraordinnaire.Sabine Dardenne a attendu huit ans pour nous raconter ce qu'elle a subi : "Je suis l'une des rares survivantes qui aient eu la chance d'échapper à ce genre d'assassin. Ce récit m'était nécessaire et si j'ai eu le courage de reconstituer ce calvaire, c'est avant tout pour qu'un juge ne relâche plus les pédophiles à la moitié de leur peine pour "bonne conduite" et sans autre forme de précaution..."
Votre résumé (facultatif) :
Nombre de pages : 230 pages
Edition : oh éditions
Couverture du livre (facultative) :

J'ai voté très bon.
Ce livre est bouleversant, son témoignage est prenant et triste. Elle raconte son histoire, de son enlèvement jusqu'au prcès de Dutroux.
Je vous conseille ce livre bouleversant.

Et moi j'ai voté excellent car j'ai ador& ce livre, je l'ai lu très rapidement ..
c'est un livre bouleversant, emouvant .. bref à lire absolument !!

j'ai vité très bon
ce livre est prenant
il montre comment une petite fille peut se faire influence par les adultes

J'ai voté Moyen.

Ok, je suis d'accord avec vous, c'est un témoignage poignant, c'est horrible ce que cette jeune fille a pu subir et ce genre de psychopathe ne devrait pas exister.

Mais Sabine n'est pas écrivaine, et ça se ressent. Etrangement, bien que ce genre de sujet me touche beaucoup, ce livre m'a laissé de marbre.
Sabine a volontairement censuré les passages de ses lettres qui décrivaient les sévices qu'elle a subi - ce qui est un très bon choix que je ne blâme pas, je trouve ça tout à fait logique - mais ça enlève beaucoup du "poignant" de ce témoignage.

Je trouve que ce livre est plus un discourt, qui serait bien mieux à l'oral, qu'un livre à proprement parler.
Un témoignage quoi.