Otages de la peur - Robert Crais

Quatrième de couverture : Trois petits truands, à peine majeurs et tout juste sortis de prison, décident de braquer une station-service. Mais l’affaire tourne mal. Il faut fuir, et vite : un policier est déjà sur leurs traces… Devant eux, une grande maison, avec à l’intérieur un père et ses deux enfants. Les otages rêvés, sauf que le père, un expert-comptable, n’est pas aussi net qu’il en a l’air.
Et qu’un des ravisseurs se révèle vite un monstrueux psychopathe.
Deux cadavres plus tard, le sergent Jeff Talley, négociateur au SWAT (Special Weapons Assault Team), est sur les lieux pour tenter une intervention. Les prises d’otages, il connaît, et la dernière lui a laissé un souvenir amer. En quelques heures, sa vie bascule dans le cauchemar absolu qu’il s’était jurer d’oublier…
Nombre de pages : 500 pages
Edition : Pocket

Couverture du livre :

Un début prometteur mais vite rattrapé par des longueurs.

Trois jeunes hommes ont l'intention de braquer une station service et de disparaître. Cependant, ce braquage se passe très mal. Pour ne pas retourner en prison, ils décident de s'enfuir... Le seul refuge qu'ils trouvent est une maison luxueuse où logent un père, sa fille et son fils.
La police locale est tout de suite appelée en renfort. Talley, chef de police, ancien membre du SWAT, est parti pour négocier.
Cependant, ce que tous ignorent, c'est que l'homme pris en otage n'est pas tout blanc, il semble appartenir à un grand groupe de la mafia qui ne tiennent pas à ce que leurs magouilles soient dévoilées...

Dès les premières pages, le lecteur est entré dans l'action. Cependant, après la mise en place de la prise d'otage, l'intrigue stagne. Le lecteur n'a pas l'impression d'avancer. On tourne en rond, sauf à la fin où tout finit par se dénouer.

Le fait d'avoir le point de vue de plusieurs personnages n'apporte pas grand chose au livre car il y a souvent des répétitions. Il y a tout de même du suspens par moment, particulièrement avec Mars qui a une personnalité très étrange... et lors de la prise de risques des personnages.

Je vote donc moyen.