Le graphisme ne m'engageait pas mais j'ai pourtant trouvé ce manwha très agréable à lire. Il dresse un portrait très délicat des courtisanes d'autrefois, mettant en avant leur raffinement qui au final coûte si cher aux voyageurs (lol), ainsi que la sévérité de leur apprentissage. Une ou deux poésies se glissent ici ou là, mais j'ai davantage encore apprécié la subtilité des dialogues, souvent à double-sens. Ce manwha est à lire pour mieux connaître l'univers des kisaeng, équivalent coréen des geisha du Japon.
Très bon