l'attape-coeur de J.D Salinger

Titre original : TITRE ORIGINAL
Quatrième de couverture : phénomène littéraire sans équivalent depuis les années 50, J.D Salinger reste le plus mystérieux des écrivains contemporains, et son chef-d'oeuvre, l'attrape coeur, roman de l'adolescence le plus lu du monde entier, est l'histoire d'une fugue, celle d'un garçon de la bourgeoisie new-yorkaise chassé de son collège trois jours avant Noel, qui n'ose pas rentrer chez lui et affronter ses parents. Trois jours de vagabondage et d'aventures cocasses, sordides ou émouvantes, d'incertitude et d'anxiété, à la recherche de soi-même et des autres. L'histoire éternelle d'un gosse perdu qui cherche des raisons de vivre dans un monde hostile et corrompu.
Nombre de pages : 252
Edition grand format :
Edition de poche : pocket
Couverture du livre :

j'ai voté mauvais, j'ai trouvée l'histoire pas interressante, je me suis ennuyer, j'ai cru ne jamais finir le livre. Le personnage ne parle que de souvenir et personnellemment les livres où il y a que des descriptions et pas d'action, je m'ennuie.
J'ai pas du tous aimée

J'ai voté Bien. (Entre bien et très bien, en fait...)

Comme l'a dit Petitemanu, il ne faut pas s'attendre à de l'action dans ce livre... Nous sommes plongées dans les réflexions de Holden Caufield, un jeune homme qui s'offre 3 jours de "vacances" avant de retourner chez ses parents et d'avouer qu'il vient d'être renvoyé pour la quatrième fois.

Ce livre aborde des sujets toujours d'actualité : l'alcool, la prostitution, l'homosexualité, etc.
Holden Caufield semble perdu dans ce monde où il n'aime personne (petite exception pour sa sœur Phoebe), il est désabusé et blasé.
Je doute qu'un garçon de 16 ans se comporte de telle manière de nos jours (il faut dire, qu'en 3 jours, il en accumule des pas mal...), et de cette façon, le livre a peut-être un peu vieilli.

La principale particularité de ce livre est son style d'écriture, et je dois dire que je tique un peu quand on sait qu'il est considéré comme un "classique". Le parler est très familier : attendez-vous à trouver des "et tout", "bicause", "ça m'a tué" toutes les deux phrases. Il y a même certaines expressions que je ne connaissais pas ! ^^ (pour moi, un téléphone est un téléphone... pas un "bigophone" ).

On adhère ou on adhère pas. Si cela peut en gêner certains, cela ne m'a pas déranger outre mesure ; au contraire, on entre plus facilement dans les divagations du jeune Caufield.

La fin est très brutale (le dernier chapitre fait à peine plus d'une page) et c'est un peu déstabilisant. Mais finalement, à y repenser, je crois que c'est mieux comme ça. Une petite parenthèse sur la vie de Holden, sans but, donc finalement sans fin.

Pour ma part, je vous le conseille.