Zazie dans le métro - Raymond Quéneau

Quatrième de couverture : Zazie débarque à Paris pour la première fois chez son tonton Gabriel. Le Panthéon, les Invalides et le tombeau du véritable Napoléon, elle s'en contrefiche. Mais kess-qui l'intéresse alors, Zazie, à part les bloudjinnzes? Le métro. Et quand elle apprend que les employés sont en grève, elle leur envoie une volée d'injures. C'est qu'il vaut mieux pas la contrarier, la mouflette!
Nombre de pages : 240 pages
Edition grand format : Gallimard Jeunesse
Edition de poche : Folio Junior
Couverture du livre :

Ouh ça a l'air marrant et léger ça. x) J'irai voir à la bibliothèque s'il s'y trouve.

Je n'ai pas trop aimé le style du roman... L'écriture familière est voulue mais elle m'a plus gênée que fait rire. Les personnages sont bizarres, l'histoire est bizarre... Enfin, ce n'est pas trop mon truc, ce genre de livre. Je vote moyen.

C'est quand même un livre destiné aux enfants à la base, non?

Je ne sais pas si à la base, c'est un livre pour enfant, mais je pense qu''il peut se lire jeune. Il n'est pas difficile à comprendre. il faut s'habituer au style d'écriture et aux personnages.

J'aimerai bien le lire, faudra que je pense à regarder à la biblio s'il y ai, pour me faire ma propre opinion.

non non ce n'est absolument pas destiné aux enfants initialement.... Et je ne suis pas sûr que les enfants puissent réellement en saisir l'interet d'ailleurs...

J'ai voté Bon. (un Bon-Moyen ^^)

Je ne comprends pas qu'il y ait une édition "Junior", je doute sincèrement qu'un enfant lise un tel livre...

On ne peut pas dire que l'histoire m'ait passionnée, Zazie est vraiment casse-pied et ses pérégrinations avec son oncle Gabriel dans Paris sont facilement lassantes. L'oncle est tout de même un personnage très intéressant : son son physique "costaud" se cache un gros nounours et la complicité qui finit par s'installer entre Zazie et Gabriel est touchante.

Le gros plus de ce livre, c'est l'humour et le style. Le langage est très familier (on imagine difficilement les parisiens parler ce langage un peu "campagnard") et oralisé. Queneau utilise très souvent la phonétique, et il faut parfois relire le mot plusieurs fois pour comprendre ! ^^ (Ex : "claqueson" pour "klaxon", "ltipstu" pour "le type se tut"). Et pourtant, il y a aussi des mots très compliqués et ce mélange est parfois étrange ! (Ex : gloxinia, épithalame, etc).

Certains passages m'ont beaucoup plus, alors je vous montre un extrait :

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