Alcools - Guillaume APOLLINAIRE

Titre original : Alcools
Quatrième de couverture : (résumé trouvé sur Wikipédia)
Alcools est un recueil de poèmes écrit par Guillaume Apollinaire, paru en 1913. Ce recueil est le fruit de quinze années de poésie d'Apollinaire, et annonce la quête de modernité, de jeu avec la tradition, de renouvèlement formel de la poésie du poète. Alcools est un recueil pluriel, polyphonique, qui explore de nombreux aspects de la poésie, allant de l'élégie au vers libre, mélangeant le quotidien aux paysages Rhénans dans une poésie qui se veut expérimentale, allant d'une quasi perfection formelle et d'une grande beauté (Mai) à un hermétisme, un art du choc, de l'électrochoc, qui a valu à Apollinaire d'être qualifié de mystificateur. Alcools montre le poète déchiré sentimentalement par la rupture amoureuse que l'histoire littéraire a retenu, à travers des poèmes tels que Mai, Les Colchiques, et surtout La Chanson du Mal Aimé.
Nombre de pages : 190
Edition grand format : /
Edition de poche : Poésie/Gallimard
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Couverture du livre :

Liste des poèmes du recueil :
Zone
Le Pont Mirabeau
La Chanson du Mal-Aimé
- Aubade chantée à Lætare un an passé
- Beaucoup de ces dieux
- Réponse des Cosaques Zaporogues
- Voie lactée
- Les sept épées
- Voie lactée
Les colchiques
Palais
Chantre
Crépuscule
Annie
La maison des morts
Clotilde
Cortège
Marizibill
Le voyageur
Marie
La blanche neige
Poème lu au mariage d’André Salmon
L’Adieu
Salomé
La porte
Merlin et la vieille femme
Saltimbanques
Le larron
Le vent nocturne
Lul de Faltenin
La tzigane
L’ermite
Automne
L’Emigrant de Landor Road
Rosemonde
Le brasier
- Je flambe dans le brasier
- Descendant des hauteurs où pense la lumière
Rhénanes :
- Nuit rhénane
- Mai
- La synagogue
- Les cloches
- La Lorely
- Schinderhannes
- Rhénane d’automne
- Les sapins
- Les femmes
Signe
Un soir
La dame
Les fiançailles
- Mes amis m’ont enfin avoué leur mépris
- Je n’ai plus même pitié de moi
- J’ai eu le courage
- Pardonnez-moi mon ignorance
- J’observe le repos du dimanche
- A la fin les mensonges
- Au tournant d’une rue
- Templiers flamboyants
Clair de lune
1909
A la Santé
- Non je ne me sens plus là
- Dans une fosse comme un ours
- Que je m’ennuie entre ces murs tout nus
- Que lentement passent les heures
- J’écoute les bruits de la ville
Automne malade
Hôtels
Cors de chasse
Vendémiaire

J'ai voté Mauvais.

Je n'ai vraiment pas adhéré à ce recueil. C'est la première fois que je lis un recueil et peut-être y-a-t-il une relation cause/conséquence.
J'aurais peut-être plus apprécié sans lire ces poèmes "à la chaîne" ou en les étudiant en classe.

Toujours est-il que je n'ai rien ressenti en les lisant, je m'y suis plutôt ennuyée.
Pas mal de vocabulaire soutenu, que je ne connaissais pas, ce qui forcément "coupe" un peu la lecture.

Néanmoins, une jolie musicalité : les poèmes lus à voix haute sont très agréables.

Le poème que j'aurais retenu : Le Pont Mirabeau, qui est aussi le poème le plus célèbre de ce recueil.